* newsletter de rentrée de l’Eglise protestante (EPU)

En cliquant sur le lien ci-dessous, vous aurez accès à la newsletter de rentrée de nos amis protestants ( édition spéciale !) qui annonce le culte en VISIO-DIFFUSION à compter du 4 septembre pour rejoindre tout un chacun là où il sera. Est-ce à dire que le culte au Temple est obsolète ? Évidemment non ! et les paroissiens sont au contraire invités à y venir nombreux, pour témoigner de la vitalité et de la vivacité du « vivre ensemble » charnel, incarné ….. sinon les visio- diffusions seraient bien tristes !

…et bien sûr la création d’une CHAINE YOUTUBE sur laquelle il sera donc possible de regarder le culte en direct ou en différé.

Edition spéciale lancement culte visio – Newsletter – EPU DBCO

29 août 2022 |

* Semaine de prière pour l’unité des chrétiens : 18 au 25 janvier 2022

La semaine œcuménique de prière pour l’unité des chrétiens se déroulera en 2022 du 18 au 25 janvier.

Elle a pour thème : « nous avons vu son astre à l’Orient et nous sommes venus lui rendre hommage «  ( Matthieu 2 – 21)

Voici les différents temps de prière proposés par le groupe œcuménique de coordination :

      

  • Mercredi 19 janvier à 19 heures : échange de chaire à l’église Saint- Nicolas à Beaune avec le pasteur de l’Eglise protestante unie
  • 20 janvier 15 heures : temps de prière au carmel de rite oriental saint-Elie à Saint- Rémy ( 5 rue du Floquet) près de Montbard
  • Vendredi 21 janvier :  temps de prière à 19 h 30 « à  Is sur Tille

 

Dimanche 23 JANVIER

à 10 h 30, ECHANGE DE CHAIRE à la Paroisse Saint- Joseph de Dijon avec prédication assurée par le pasteur Marcel Mbenga de l’Eglise protestante unie.

 

A 15 heures, célébration festive œcuménique à la Visitation à Chevigny -Saint- Sauveur  

mais dès 13 heures, vous pourrez venir visiter l’Espace Créations où seront exposées des œuvres en lien avec le thème de la semaine de l’Unité

Intitulée « les chrétiens ont un incroyable talent », cette célébration proposée par le groupe œcuménique de cote d’Or rassemblera  des membres de l’Église catholique, des Églises évangéliques, de l’Église protestante unie de France / EPUdF, de l’Église copte orthodoxe.

La Parole nous réunira, à partir du thème de cette Semaine pour l’Unité des Chrétiens :  la Visite des Mages (Matthieu 2 ( 1-12)  Il sera mis en scène, théâtralisé par des collégiens, porté aussi par les chants, la musique et la danse.

Les différentes formes d’expression artistique, de courts textes aussi de méditation et la prière nous feront cheminer à la suite des Mages pour venir adorer Jésus à la crèche, Roi d’humilité. Ce sera beau, priant, fraternel…

Les personnes en situation de handicap visuel ou auditif seront accueillies dans les meilleures conditions (notamment : traduction en langage des signes, surtitrage, audiodescription…)

 

      *  Mardi 25 janvier, à l9 h,  l’ACAT propose un temps de prière au Temple de Dijon

     *  Enfin, le dimanche 30 JANVIER  à 10 h 15 ECHANGE DE CHAIRE au Temple de Dijon, avec prédication assurée par le Père Denis Erazmus.

5 janvier 2022 |

* voyage oecuménique à Strasbourg les 9 et 10 octobre

 Le groupe œcuménique de DIJON et Côte d’Or vous invite à participer les 9 et 10 octobre 2021 à un voyage œcuménique à Strasbourg : week-end de visites, de rencontres et d’échanges ouvert à tous !

Vous trouverez en cliquant sur les liens ci-dessous le programme proposé pour ces deux journées ainsi que le bulletin d’inscription à retourner avant le 20 septembre au service des Pèlerinages, 9 bis boulevard Voltaire à DIjon

 

STRASBOURG_2021 Bulletin d’inscription

STRASBOURG_2021 Notice d’information

9 septembre 2021 |

* redécouverte de la messe, étape 8 : la liturgie orthodoxe

La liturgie orthodoxe est toute entière

une icône de la liturgie céleste,

une image du siècle à venir.

Tout y est utilisé pour révéler au cœur de l’homme la beauté du Royaume de Dieu : par les icônes dont le mystère est sacramentel (et non décoratif…) de même que le chant liturgique, vecteur de la Parole de Dieu, donc non accompagné d’instruments (qui ne prient pas), la richesse des textes psalmodiés et non lus pour laisser uniquement l’Esprit-Saint s’y exprimer (l’émotion du lecteur étant évacuée), beauté encore des vêtements et ornements liturgiques, ambiance feutrée créée par les lumières des cierges et les volutes d’encens.

Ainsi, tous les sens sont sollicités de même le goût lors de la communion au corps et au sang, donnée sous les 2 espèces : le pain levé (et non azyme) préparé en principe le matin,  et le vin.

Liturgie cosmique à laquelle participent également les anges, Marie la Mère de Dieu et les saints. Les longs offices sont un avant-goût du Royaume où le temps est suspendu ; ils nécessitent une certaine ascèse : dans la préparation : pénitence, jeûne dès minuit, prière, puis à l’église dans l’effort de se tenir debout (attitude de l’homme ressuscité) et attentif.

L’Église Orthodoxe se situe dans la continuité apostolique ininterrompue de l’Église primitive ; de même sa liturgie quasi immuable. De même, son calendrier liturgique demeure essentiellement le calendrier julien.

Une des origines du mot liturgie est « œuvre commune ». Tout sacrement est personnel et communautaire. Pas de liturgie individuelle, ni acte (lecture ou même prière privée) ne s’inscrivant pas dans la prière commune

Comme la messe catholique la liturgie orthodoxe comprend 2 parties : la liturgie de la Parole et celle des fidèles.

Si à la suite du dialogue entre les 2 églises on tend de plus en plus à considérer que la transsubstantiation du pain en corps et du vin en sang du Christ résulte de toute l’action liturgique; jusqu’à la fin du siècle dernier (le XX°), l’Église catholique privilégiait les paroles de la consécration : « Ceci est mon Corps… ». Et l’Église orthodoxe l’épiclèse : prière de l’assemblée au Père, par la bouche du prêtre, afin qu’Il envoie l’Esprit-Saint sur les dons afin qu’ils deviennent le corps et le sang du Christ. Cette théologie sur l’Esprit-Saint qui procède du Père seul et qui accomplit toutes choses étant la différence essentielle entre les 2 églises.

Père  Roland Boivin

29 janvier 2021 |

* redécouverte de la Messe ; étape 7 : le culte protestant

LA LITURGIE DE LA PAROLE AU CENTRE DU CULTE PROTESTANT

Les catholiques qui ont pu assister à un culte dans le temple de l’Église protestante unie, par exemple à l’occasion d’un échange de chaires lors de la semaine de prière pour l’unité des chrétiens, ont dû être surpris par l’absence éventuelle de Sainte Cène. Et pourtant ce n’était pas un culte au rabais ! La liturgie de la Parole est au centre du culte protestant. A Dijon, la Cène n’est célébrée que 2 fois par mois et lors des grandes fêtes.

Et, bien évidemment, IL N’Y A PAS DE SAINTE CENE SANS LITURGIE DE LA PAROLE.

« Ni repas banal, ni geste magique, la Cène célébrée par la communauté chrétienne est à la fois souvenir et actualisation de l’acte fondateur du christianisme : la mort et la résurrection de Jésus de Nazareth, figure visible du Dieu invisible, Fils de Dieu, qui aspire à ce que tous les êtres humains se reconnaissent comme ses enfants, libérés et libres d’aimer. »Voilà ce qu’en écrit le pasteur Claudette Marquet dans le petit opuscule « Les protestants », publié par « Les essentiels Milan ».

Tout chrétien qui reconnait sincèrement Jésus le Christ comme son Seigneur et son Sauveur est invité à partager la Cène quelle que soit son appartenance confessionnelle.

Le Christ est présent dans la Cène, non pas dans les éléments matériels du pain et du vin, mais au milieu de la communauté réunie en son nom : « Que deux ou trois, en effet, soient réunis en mon Nom, je suis là au milieu d’eux. »(Mt 18, 20.)

Bertrand Schweisguth

Le pasteur Michel Wagner nous propose cette prière

« Avant de communier »

« La table est mise, Seigneur. Nous avons partagé ta Parole.

Elle a remis notre vie à l’heure.

Dans un instant, ton appel « Venez, car tout est prêt » va nous inviter à partager pain et coupe en mémoire de toi.

Pain et vin réels, autrefois épis et grappes dans nos campagnes, les voici offerts pour attester que ton amour et ton Royaume sont tout aussi réels pour nous.

Avec nos frères et sœurs, ayant partagé la paix qui vient de toi, nous voici assemblés et faits ensemble par toi « corps du Christ ».

Que ton Esprit fasse de ce moment privilégié un moment de joie, une minute anticipée de ton Royaume. »

23 janvier 2021 |

*MARCHE DE LA CRÉATION 11 octobre 2020 : ANNULEE

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est OIKOUMENE.jpg.

information de dernière minute : cette marche a été annulée en raison de la situation sanitaire actuelle.

Le groupe œcuménique Dijon et Côte-d’Or organise une Marche de la Création, le dimanche 11 octobre à Beaune, sur le thème : « Je suis la vigne, vous êtes les sarments » Jn 15,5. Une occasion de fêter la création et de prier pour sa sauvegarde avec des chrétiens de différentes confessions.

– Marche ouverte à tous (2h environ avec plusieurs haltes).

– Rendez vous le 11/10 à 14h30 au temple de Beaune 5 Rue Pierre Joigneaux (à coté de la gare: horaire compatible avec les RER Dijon-Beaune). Fin de la rencontre au temple à 19h00

– Le parcours d’environ 3,5 km reprendra partiellement un itinéraire créé il y a quelques années par un membre de la communauté catholique dans le cadre de la pastorale du tourisme (le père Frot remet un dépliant édité pour faire connaître ce parcours de découverte des lieux religieux beaunois).

– Un covoiturage devra être organisé à partir du temple pour se rendre à Notre Dame de la libération, point de départ de la randonnée . Elle est située à l’extérieur de la ville et constitue un lieu d’intérêt historique, patriotique et religieux pour les beaunois.

Le soir il faudra ramener les voitures de Notre Dame de la libération vers le temple.

– Le cheminement permettra une méditation autour d’extraits bibliques sur la vigne, le vin, et le travail de la vigne.

Trois haltes permettront de formuler en petit groupe, à chacune d’entre elles, une prière de louange et une intercession. Elles serviront pour la cérémonie finale au temple.

  • L’étape 1 orientera vers la contemplation de la beauté de la création.
  • L’étape 2 ouvrira au sens de la fécondité de la vigne portant du fruit.
  • L’étape 3 nous tournera vers le travail de la vigne et de vin avec l’intervention d’un témoin, Philippe, technicien vini viticole et diacre catholique.

– La cérémonie au temple sera conduite par un pasteur de l’église protestante unie.

   Déroulé envisagé : lecture de l’évangile de Jean « Je suis la vigne, vous êtes les sarments » et homélie, prière et intercessions avec les textes de groupes, chants, Notre Père, bénédiction et envoi.

– Au terme de la journée est prévu un verre d’amitié qui permettra de rencontrer les beaunois qui nous auront accueillis.

– Fin de la journée avant 19h00 ( TER de 18h59 pour Dijon)

Renseignements et précisions :

oecumenique21@gmail.com

Michel BOUVOT : 06 06 52 29 45

Jean Claude PETIT : 06 33 07 48 54.

23 septembre 2020 |

L’OECUMENISME POUR LE SALUT DU MONDE

Un sermon sur l’unité des chrétiens ? à quoi bon, puisqu’il n’ya plus de problème, et que nous pensons tous pareil ? nous ne nous tapons plus dessus comme dans les temps obscurs, et puis : chacun fait bien ce qu’il veut, non ? à quoi peut servir la prière ? enfin, pour être sérieux, quepeut-elle contre le scandale de la séparation eucharistique ?

La division existe dès l’origine …  elle est naturelle, dit-on, certes oui ….  Mais la foi remonte / évidences ; prier traverse le  « ce qui va de soi », le « ce qui tombe sous le sens ». Dès l’origine aussi, la Pâque est présente. Elle demande à être entendue et à féconder nos regards ou nos pensées. Contraire à la division, l’unité est une ébauche de résurrection.

D’abord, nous prions parce que Jésus a commencé. Il disait « Père, qu’ils soient un comme nous sommes un, toi en moi, et moi en toi. Qu’ils soient un pour que le monde croie ». Jésus a prié, il nous a demandé de prier. Prier avec le désir passionné que le monde vive dans l’amour du Père.

À la question « à quoi bon l’unité ? » se substitue la question « veux-tu que tous tes amis découvrent l’amour fou du Père? ».

Donc prier pour l’unité, c’est désirer pour tous la meilleure qualité de vie. Est-ce le cas ?

Reprenons depuis le début : Jésus a réuni un groupe d’hommes et de femmes aux personnalités et aux tempéraments bien variés. Opposés parfois. Mais toujours bien humains, et lourds de leur humanité. Ce qui intéressait les disciples était de savoir qui serait le plus grand, qui pourrait prendre place à la droite et à la gauche de Jésus dans son royaume, comment établir le royaume de Dieu pour qu’ils y aient de bonnes places de chefs. Jésus leur avait pourtant dit que les vrais grands hommes devaient affirmer la dignité des pauvres de manière priviégiée et servir à leur laver les pieds. Mais pas à s’occuper d’eux-mêmes, surtout pas.

Dans la suite de l’Histoire, on a vu des chefs de guerre comme l’empereur Constantin ou le roi Clovis devenir chrétiens parce que la croix du Christ avait la vertu magique de les faire gagner contre les adversaires. Étrange respect du crucifié ! On a vu des évêques dans les conciles des premiers siècles s’empoigner et s’étriper, copier en Église les haines et les divisions du monde politique entre Antioche, Alexandrie et Rome —cela semble continuer aujourd’hui dans des phénomènes d’édition de pape à pape ?? division entre Amérique du Nord et pauvres du Sud ??–. Puis entre la Méditerranée et les peuples du Nord ou de l’Est de l’Europe.

Les dynamiques politiques et sociologiques imprègnent leurs querelles. Elles font des conflits de disputes religieuses sérieuses.

Mais ils se sont retrouvés par la grâce d’une certitude : le seul principe qui devait nous guider est que Christ vient sauver « tout homme et tout l’homme ». Alors, on pouvait redécouvrir toute la valeur divine des humains, parce que le Fils de Dieu avait accompli sa vocation d’homme. Il est pleinement homme pour que l’humain reçoive  –comme disent les Orthodoxes— sa divino-humanité.

L’unité ne pouvait revenir que par le point de vue final : cesser de focaliser sur les divergences de l’immédiat pour décider de tout penser à partir de notre vocation, càd d’être, tous, dès maintenant et pour toujours, des ressuscités. Penser, donc, à partir de Dieu et non pas de nous. Se convertir à l’Eternel plutôt qu’à un habillement, fût-il juste. Et découvrir que tous les humains ont dignité d’Enfants de Dieu.

Donc, prier pour l’unité des croyants, c’est prier pour que tout homme se découvre valable et aimable. Il ne peut plus y avoir ni esclaves ni gens exclus ;  il faut quitter la volonté de puissance ou de domination ; abandonner l’idée que d’avoir de l’argent achèterait la miséricorde de Dieu. Entendre le besoin de liberté.

[ à Dijon, je ne peux qu’ouvrir une parenthèse sur la nécessité d’intelligence dans cette humano-divinité : en la Saint-Barthélémy 1572, lorsque fut donné l’ordre du massacre des huguenots, un avocat et un responsable du Parlement de Bourgogne demandèrent respectueusement confirmation de l’ordre royal : le temps pour la missive d’aller à Paris, puis à la réponse de revenir,  –l’ordre était aboli et les protestants sauvés ].

On pourrait faire l’hypothèse suivante : lorsque le monde se délite, part en lambeaux déchiquetés, l’Église dans son entièreté vient réunifier les sociétés faillies. Elle propose de se reprendre en main avec d’autres moyens. De construire avec d’autres objectifs que le court-terme – avec un Esprit, en s’appuyant sur une Parole, en se laissant structurer par elle.

Sur les ruines de la 1° guerre mondiale, l’abbé lyonnais  Paul Couturier noue des contacts avec un grand nombre de confessions chrétiennes. Il rencontrera le jeune pasteur suisse Roger Schutz qui créera l’église de la Réconciliation à Taizé, juste après la 2de guerre. Des milliers de personnes viendront y puiser.

N’est-ce pas  ce double besoin de silence et de prière, et le retour à la Bible, qui seraient le seul armement efficace ?

Dans les années 1940, l’étudiant Jacques Loew découvre la condition des dockers de Marseille et suscite les prêtres ouvriers. L’écrivain Gilbert Cesbron leur donnera stature romanesque publique avec « Les saints vont en enfer« 

En 1963, le dominicain Yves Congar fait paraître la révolution tranquille de son  » Pour une église servante et pauvre« . C’est juste avant le 2° concile du Vatican où tout se pensera à nouveaux frais.

Alors, donc, comment cette fonction prophétique baptismale peut-elle se traduire aujourd’hui ? Quel serait en notre XXI° siècle l’apport à la société  de l’Église « une, sainte, universelle et apostolique » ?

Je me risque à dire : que dialoguer est foncièrement nécessaire au temps des monologues identitaires. Et que se passionner  (pour le Christ Jésus et pour son attention aux plus humbles des humains)  conteste le relativisme individualiste.

Si l’on veut se respecter entre les confessions chrétiennes, qu’on-elles à se donner les unes aux autres ? quel est l’apport des protestants ? quel est l’apport des orthodoxes ? quel est l’apport des catholiques ?

Le protestantisme : tout nous vient de par la grâce et la personne du Christ, de par sa foi, et en même temps le Ressuscité attend de nous une fraternité agissante. Sa Parole nous le dit.

L’orthodoxie : réaliser dès aujourd’hui la gloire du Royaume éternel, le présentifier sur une terre concrète. La Liturgie nous le dit.

Catholique : il unit le mysticisme du regard porté sur le Seigneur, et une coquille protectrice – qui paraît parfois une carapace rigide aux yeux de certains. C’est du discours sur la Trinité que cela vient.

Ainsi, l’œcuménisme est pertinent s’il permet de sortir des routines et de redécouvrir de façon toujours nouvelle combien tout est fondamentalement construit sur le Christ. C’est lui qui nous passionne et rien d’autre et nul autre. « Christ, aujourd’hui comme hier et demain ».

Amen,  alleluia.

père dominique nicolas

 

19 janvier 2020 |